Certaines constituent des parcs culturels, endroits pour se réoxygéner, promenades et randonnées
La ville n’a rien d’exotique, mais a son charme particulier avec ses maisons en mur de briquettes de couleur rouge ocre, ses toits en tuiles, ses collines sacrées, ses ruelles pavées. C’est l’unique ville du pays où sont concentrésles édifices et stèles, et autres monuments qui symbolisent son histoire.
Certaines constituent des parcs culturels, endroits pour se réoxygéner, promenades et randonnées
Situé au sommet de la colline d’Analamanga, il fut la résidence des Rois et Reines du 17ème au 19ème siècle. Ravagé par l’incendie du 6 no- vembre 1995, il est en cours de restauration.
A l’origine, fut construit pour servir d’habitation et de bureaux pour le Résident Général de France. Actuellement, il est devenu un lieu de travail du Président de la République.
Ancien Palais du Premier Ministre Rainiharo, rem- placé par la suite par le Premier Ministre Rainilaiarivony. Actuellement, c’est un musée.
On y trouve une collection d’objets ethnogra- phiques et archéologiques.
Dans l’enceinte du Parc Botanique et Zoolo- gique.
Dans l’enceinte de la Direction des Mines et de Géologie à Ampandrianomby.
A l’espace Rarihasina Analakely.
Quelques édifices religieux, originaux par leurs architectures et leurs histoires
Bâti en 1867, 1er bâtiment en pierre de la Capitale, Temple où furent détenus les chrétiens persécutés avant d’être suppliciés. .
Bâtie en 1883, dans le cadre de la rivalité entre les missions religieuses étrangères.
Bâti en pierre en 1870, en souvenir des martyrs chrétiens malagasy brûlés vifs à cet endroit, l’une des suppliciées avait accouché dans les flammes.
Construite en pierre en 1883, consacrée jusqu’à maintenant au culte en langue française.
Bâti en pierre en 1870, en souvenir des martyrs chrétiens malagasy brûlés vifs à cet endroit, l’une des suppliciées avait accouché dans les flammes.
Construite en pierre en 1883, consacrée jusqu’à maintenant au culte en langue française.
Bâti en 1863, en architecture typiquement anglaise.
Bâtie en 1873, en architecture gothique et romane.
Bâti en 1875, 1er Temple de la Mission luthérienne de Norvège.
Située devant celle de l’Indépendance.
La Stèle Commémorative de l’INSURRECTION DE 1947 à Ambohijatovo.
Sur l’Avenue de l’Indépendance à Analakely.
Ils sont au nombre de deux et restent fonctionnels jusqu’à ce jour : – le Tunnel d’Ambohidahy (creusé de 1914 à 1924) – le Tunnel d’Ambanidia (creusé de 1932 à 1937)
Une tombe monumentale en pierre, classée monument historique à l’époque, sis à Isoraka.
Situé à la haute ville, bâtiment de pierre construit en style des temples grecs. Un lieu où les premiers Rois rendaient justices.
Celle d’Analakely, est célèbre de par son histoire. Avant, c’était l’emplacement du marché du Zoma. Le célèbre marché réputé le plus grand à ciel ouvert dans le monde entier. – L’Esplanade d’Antaninarenina : lieu incontournable, où sont concentrées les bijouteries. – L’Avenue du 18 juin à Analakely abrite aussi quelques magnifiques bijouteries.
Du temps des Rois, chaque jour de la semaine (sauf le dimanche) un quartier de la ville accueillait le marché. Cette tradition est encore gardée de nos jours et on y trouve de tout, partant des légumes, fruits, meubles, brocantes, habillement … – le lundi à Ambohimanarina – le mardi à Besarety – le mercredi à Andravoahangy – le jeudi, le plus grand est à Mahamasina – le vendredi (le zoma) supprimé, est maintenant réparti à des endroits différents : au marché Pochard (artisanat et confection), à Petite vitesse (fruits, légumes, boucherie, plantes médicinales, …), au Coum 67ha (meubles, habillement), Ambodin’Isotry (les tissus), Anosy (poterie, fleurs, linceuls…). Aux pavillons d’Analakely avec leurs fameux toits en tuiles, on y trouve de tout (habillement, artisanat, produits alimentaires, boucheries…) – Le Samedi à Isotry.
Ouverts tous les jours : – le marché de la route digue vers l’aéroport – le marché d’Andravoahangy – le village artisanal du CENAM à 67 Ha où se trouvent quelques boutiques – les nombreuses boutiques et ateliers d’artisanat se trouvent en ville ou en périphérie, méritent un détour car la plupart offrent des produits originaux voire haut de gamme.
En ville – Association Culturelle et Sportive d’Ambohidahy (ACSA) : ping-pong, tennis, piscine, billard, restauration – Centre balnéoforme ultramoderne de l’Hôtel Colbert En dehors de la ville – Le Malaza Golf Club : golf, piscine, tennis, pétanque… – Serana Racing Kart (SRK) : karting, run, autres jeux…
Ces parcs sont publics ou privés, situés en ville ou un peu retirés, et leur accès est payant. – Le plus grand est le Parc Botanique et Zoologique de Tsimbazaza (public). – Le Croc Farm à Ivato : parc privé spécialisé dans l’élevage de crocodiles et la fabrication des articles en peau de croco. – Le Parc Gasikara de l’Hôtel le Carat à Ambatofotsy (21 km de Tanà sur la RN 7). Parc de 3 Ha où une partie de la faune et la flore du pays est représentée. – Le Parc Tsarasaotra (à 4 km du centre ville) d’une superficie de 27 ha. – Le Lemur’s Parc, situé à une vingtaine de kilomètres hors de la ville sur la RN 1.
– Le Palladium et le Caveau (centre ville Antaninarenina) – Le Six à Antaninarenina – La suite 101 à Antaninarenina – Le carré à Antanimena
– Le Glacier (en plein centre ville à Analakely) – La Boîte de Jazz (Complexe hôtelier La Résidence à Ankerana) – Occasionnellement, dans de nombreux restaurants et espaces en ville ou en périphérie.
LE SANTA-BARY Une coutume pratiquée à l’époque de la Royauté, faisant partie des fêtes royales, se déroulant en début de chaque année. Reprise récemment par le Gouvernement actuel pour réhausser la tradition, elle consiste à accueillir au Palais les communautés paysannes représentatives de chaque région pour apporter les échantillons de leurs spécialités : lait, miel, anguilles, pintades… Cérémonie pour amorcer l’année nouvelle et la rendre propice à tous les vœux de fécondité des humains et de fertilité de la terre.
En Imerina, c’est le «Fandroana» qui est une fête collective. Les cérémonies réunissent toute la communauté, et sont assorties de chants et danses.
Art populaire des Hautes Terres. Le Roi Andrianampoinimerina lors des grands travaux collectifs, offrait des spectacles édifiants à son peuple (spectacles moralisateurs). La tradition s’est perpétué, le Hira Gasy a toujours lieu dans les fêtes officielles. Les groupes de Mpihira Gasy sont aussi sollicités pour les fêtes familiales (Famadihana, circoncision…).
Comme un jeu d’échec mais typiquement Malagasy et se joue à 2. Pratiqué depuis le 14ème siècle dans chaque village royal. C’est un jeu qui exige beaucoup de patience et un exercice de stratégie qui a pour but d’avaler les pions de l’adversaire.
Les Hôtels et restaurants de tanà proposent des menus qui donnent l’embarras du choix. En outre les repas traditionnels malgaches à base de riz, de viande et de légumes qui sont très délicieux, on y trouve également toute sorte de cuisine européenne (française, italienne…) réunionnaise, mauricienne et asiatique.